6 décembre 2009
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SURINAM
72h de navigation tranquille depuis les îles du Salut avec nos amis de Ojala et Pacifica nous emmènent à Paramaribo ; Capitale du Surinam près de l’embouchure du fleuve. Avant d’y aller nous aurions juré que ce petit d’Amérique du Sud se trouvait en Asie. Peut-être à cause du riz qu’il produit, ou de la consonance du nom de ce pays. Pour Yvan du Surinam au Vietnam il n’y a qu’un pas. Ici c’est un surprenant mélange ethnique et une apparente tolérance religieuse. Les cathédrales en bois côtoient les mosquées, qui elles mêmes jouxtent les synagogues à coté des temples hindous. On a un joyeux mixe de population Indopakistanaise (37% de la population), des créoles (d’origine Africaine et Amérindienne, 3% de la population), des indonésiens (15% de la population), des noirs Africains descendants des esclaves qui s’étaient enfuis en migrant vers l’intérieur des terres, (10% de la population), des Amérindiens, des descendant des tribus indigènes, des chinois et des Européens. Ici les communautés se différencient, se rencontrent et se mélangent. L’ex-Guyane Hollandaise indépendante depuis 1975 est un pays qui mérite qu’on s’y attarde. La gentillesse et l’accueil des gens sont incroyables. Nous passerons du temps au mouillage de Domburg à quelques Miles en amont du fleuve. La petite communauté des bateaux se retrouve chez Rita, le temps d’un apéro où pour déguster une soupe chinoise ou encore un Nasi-goreng ou un bami-goreng. Ici la vie n’est pas chère et s’écoule tranquillement. On peut faire de l’eau facilement à l’usine qui fabrique le surimi, au village de Domburg, il y a les échoppes et les magasins chinois pour s’avitailler en fruits et légumes et autres victuailles. Ce petit pays mérite vraiment une halte, soyez tranquille en bateau c’est la sécurité et les gens sont vraiment adorables.
MELANGE DE CULTURE
BALLADE DANS LES VILLAGES AMERINDIENS
72h de navigation tranquille depuis les îles du Salut avec nos amis de Ojala et Pacifica nous emmènent à Paramaribo ; Capitale du Surinam près de l’embouchure du fleuve. Avant d’y aller nous aurions juré que ce petit d’Amérique du Sud se trouvait en Asie. Peut-être à cause du riz qu’il produit, ou de la consonance du nom de ce pays. Pour Yvan du Surinam au Vietnam il n’y a qu’un pas. Ici c’est un surprenant mélange ethnique et une apparente tolérance religieuse. Les cathédrales en bois côtoient les mosquées, qui elles mêmes jouxtent les synagogues à coté des temples hindous. On a un joyeux mixe de population Indopakistanaise (37% de la population), des créoles (d’origine Africaine et Amérindienne, 3% de la population), des indonésiens (15% de la population), des noirs Africains descendants des esclaves qui s’étaient enfuis en migrant vers l’intérieur des terres, (10% de la population), des Amérindiens, des descendant des tribus indigènes, des chinois et des Européens. Ici les communautés se différencient, se rencontrent et se mélangent. L’ex-Guyane Hollandaise indépendante depuis 1975 est un pays qui mérite qu’on s’y attarde. La gentillesse et l’accueil des gens sont incroyables. Nous passerons du temps au mouillage de Domburg à quelques Miles en amont du fleuve. La petite communauté des bateaux se retrouve chez Rita, le temps d’un apéro où pour déguster une soupe chinoise ou encore un Nasi-goreng ou un bami-goreng. Ici la vie n’est pas chère et s’écoule tranquillement. On peut faire de l’eau facilement à l’usine qui fabrique le surimi, au village de Domburg, il y a les échoppes et les magasins chinois pour s’avitailler en fruits et légumes et autres victuailles. Ce petit pays mérite vraiment une halte, soyez tranquille en bateau c’est la sécurité et les gens sont vraiment adorables.
MELANGE DE CULTURE
BALLADE DANS LES VILLAGES AMERINDIENS